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 Entre le ciel et l'enfer

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Public : Tous publics

Nationalité : Japon


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Entre le ciel et l'enfer

un film de akira kurosawa


détails techniques

Sortie : le 03/05/2017

Couleur : Noir & Blanc

Audio : mono


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détails techniques

Sortie : le 11/03/2006

- Audio : mono

contenu DVD Collector

- Entretien avec Jean Douchet (13')

- Bande annonce

- Galerie photos

- Filmographie

- Liens Internet

AUSSI DISPONIBLE EN COFFRET DVD Collector :

- Akira Kurosawa : 10 toiles du maître


Synopsis

Parti de rien, Kingo Gondo est un homme d’affaires redoutable. Sur le point de devenir l’actionnaire majoritaire de l’entreprise pour laquelle il a travaillé toute sa vie, il reçoit un appel : son fils a été enlevé, et on lui demande 30 millions de yens. Mais, coup de théâtre, c’est le fils du chauffeur qui a été kidnappé. Gondo est confronté à un dilemme terrible : se ruiner et sacrifier toutes ces années de dur labeur pour un garçon qui n’est pas le sien, ou racheter sa firme et avoir la mort d’un jeune innocent sur la conscience…

+ sur le film

UN FORMIDABLE CHEF-D’ŒUVRE DU FILM NOIR

 

Dans ce thriller social et très ancré dans son époque, Kurosawa s’illustre en maître du mélange des genres et des influences en nous plongeant dans l’ère nouvelle du consumérisme amenée par l’Occident, tout en gardant son héritage japonais, traditionnel et fier.

 

Pour sa quinzième collaboration avec lui, Toshiro Mifune nous offre une performance incroyable dans le rôle d’un homme déchiré, étouffé par le huis clos initial. Il a oublié d’où il vient, de cet abîme où il fait trop chaud et où fourmillent les misérables et les laissés-pour-compte… Les bas-fonds d’où émane cette fumée rose, indice crucial symbolisant un tournant dans l’intrigue et une séquence-clé qui, selon Martin Scorsese, résume « la force de l’art cinématographique de Kurosawa. Cette apparition de la couleur, pendant quelques secondes, dans un film en noir et blanc […] est le choix d’un peintre et d’un poète. »

 

Cruel, ironique et magnifique, ENTRE LE CIEL ET L’ENFER embarque le spectateur, tantôt soumis à une tension hitchcockienne, tantôt submergé par l’émotion simple de retrouvailles : un film dialectique d’une virtuosité infinie…