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 La Proie de l'homme

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Détails

Public : Tous publics

Nationalité : Japon


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La Proie de l'homme

un film de hideo gosha


détails techniques

Sortie : le 30/11/1999

Couleur : Couleur

Audio : mono

Restauration : Version restaurée


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détails techniques

Sortie : le 02/04/2008

- Restauration : Version restaurée

- Durée : 134

- Langue : Japonais

- Sous-titres : Français

- Couleur : Couleur

- Audio : mono


Synopsis

Kiwa est l'épouse dévouée d'Iwago, un ancien champion de lutte. Sa carrière sportive terminée, il a choisi un métier de l'ombre, celui de zegen : il achète des jeunes filles à des familles miséreuses pour les revendre aux maisons de geishas de la région. Son commerce prospère, mais Kiwa le supplie d'abandonner cette activité qui le lie à la pègre locale, qui est préjudiciable à l'éducation de leurs trois enfants, tous adoptés, Kiwa étant stérile. C'est alors qu'Iwago reproche à sa femme ses airs de bourgeoise alors qu'elle profite bien, après tout, des avantages de son sale métier. Le mépris s'installe peu à peu dans le couple. Iwago prend des maîtresses, inflige des brimades à sa femme. Il ira même jusqu'à la forcer à élever la fille qu'il a eue avec l'une d'elles. Les années passent, Kiwa a fini par élire domicile chez son frère tout en élevant l'enfant adultérin auquel elle s'est finalement attachée. Jusqu'au jour où Iwago veut reprendre sa fille pour en faire une geisha...

+ sur le film

Pour les studios de la Toei, l'enjeu est important : adapter à l'écran trois romans de Miyako Tomio, largement autobiographiques, sur le monde de la pègre, de la prostitution à Kochi, (île de Shikoku), dans les années 1920, 1930, trois livres qui ont été un succès phénoménal de librairie. La complicité qui lie depuis longtemps Hideo Gosha à la romancière vont contribuer au succès de cette trilogie, trois drames poignants à l'érotisme torride : Dans l'ombre du loup, Yohkiroh le Royaume des geishas, La proie de l'homme. Une réussite collective grâce aussi au jeu truculent de Tatsuya Nakadai dans le premier film,, à celui ténébreux mais d'un étonnant réalisme de Ken Ogata dans les deux autres.Fabrice Arduini.