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 House by the River

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Détails

Public : Tous publics

Nationalité : États-Unis


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House by the River

un film de fritz lang


détails techniques

Sortie : le 30/11/1999

Couleur : Noir & Blanc

Audio : mono


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détails techniques

Sortie : le 05/11/2008

- Durée : 94

- Langue : Anglais

- Image : 1.33 - 4/3

- Couleur : Couleur

- Audio : mono

contenu DVD Collector

- En 1974, le réalisateur de French Connection, L'Exorciste s'entretient avec le maître. Un document exceptionnel.

- - Entretien avec Patrick Brion (13')

- - Entretien avec Pierre Rissient (13')

- #NOM'

AUSSI DISPONIBLE EN COFFRET DVD Collector :

- Fritz Lang en noir et en couleurs

- Fritz Lang Collector


Synopsis

L'écrivain Stephen Byrne habite, avec sa femme Marjorie, une maison près de la rivière. C'est un écrivain raté, aigri. Un soir, en l'absence de sa femme, il tente d'abuser de leur servante Emily,, comme elle se débat, il l'étrangle. Il est surpris par son frère John qui lui conseille de tout révéler à la police. Stephen réussit à obtenir son silence en lui faisant croire que Marjorie est enceinte, que la révélation d'un tel acte lui serait fatal. Les deux hommes mettent en scène une fugue de la servante, font disparaître quelques uns de ses effets personnels pour paraître crédibles, jettent le corps d'Emily dans la rivière...

+ sur le film

House by the River (1950) est l'un des Fritz Lang les plus rares, jamais distribué en salles en France, sauf en 1979 à la télévision grâce au cinéma de minuit de Patrick Brion... Ce film « entame la dernière période américaine de Lang, celle où le cinéaste va aller jusqu'aux limites extrêmes de son génie, dont les applications se confondent avec une exploration systématique, menée plus loin qu'aucun cinéaste ne l'a fait avant lui, des pouvoirs du cinéma » (Jacques Lourcelles). La mise en scène de Lang est extraordinaire de maîtrise, d'invention. En jouant finement comme à son habitude avec le décor, l'atmosphère, la lumière, Lang insiste ainsi sur l'aspect claustrophobique, utilise la répétition des images (plans de la baignoire qui se vide, d'un poisson argenté sautant hors de la rivière) pour matérialiser, de manière obsessionnelle, les pulsions, les hantises de son personnage. Le film est une vertigineuse parabole sur la culpabilité. « Je suis arrivé à la conclusion que l'esprit de chaque homme cache une impulsion latente pour le crime» Fritz Lang.