Affinez votre recherche

23 Mars 2002. Israéliens, Palestiniens sont en guerre. La diplomatie est au point mort. La violence atteint son paroxysme. A la recherche d'explications, le réalisateur Oliver Stone, une équipe de documentaristes européens se rendent au coeur du conflit : de Jérusalem à Tel-Aviv, en passant par Ramallah, capitale de l'autorité palestinienne, ils explorent les rues où la population essaie de vivre normalement,, rencontrent les leaders des deux camps qui décident de leur sort. [ INéDIT EN SALLES ' INéDIT À LA TV ] Désireux de donner une réalité argumentée à ce conflit aux répercussions mondiales, Oliver Stone, son équipe s'entretiennent largement avec les acteurs majeurs du monde politique israélo-palestinien, permettant un réel tour d'horizon, dont notamment : ' Yasser Arafat, Prix Nobel de la Paix (avec Yitzhak Rabin, Shimon Peres, en 1994).Président de l'Autorité Palestinienne de 1994 à sa mort en 2004. Chef de file du Fatah. ' Ehud Barak, Premier Ministre d'Israël de 1999 à 2000. Représentant d'Israël au sommet de Camp David en 2000. ' Benyamin Netanyahou, Premier Ministre d'Israël de 1996 à 1999. ' Shimon Peres, Prix Nobel de la Paix (avec Yitzhak Rabin, Yasser Arafat, en 1994). 2 fois Premier Ministre d'Israël (1984-1986, puis 1995-1996) ' Hasan Yosef, porte-parole du Hamas, mouvement de résistance islamique palestinien, aujourd'hui majoritaire dans le gouvernement palestinien ' Les Brigades des Martyrs d'Al-Aqsa, groupe armé palestinien lié au Fatah de Yasser Arafat OLIVER STONE, UN CINEASTE ENGAGé Avec PERSONA NON GRATA, Oliver Stone se mue en journaliste, ajoute une pierre supplémentaire à une oeuvre farouchement engagée. Véritable sillon traversant toute sa filmographie, son intérêt pour l'Histoire, les rouages du pouvoir, qu'il soit nord-américain (JFK, Nixon ou Wall Street), antique (Alexandre) ou international, ne se dément pas ici. Depuis son séminal Platoon (plongée au coeur du conflit du Vietnam, sujet également de Né un 4 Juillet, Entre Ciel, Terre), il continue de livrer une vision fortement critique des hommes, des mécaniques influant sur la marche du monde, notamment en ne cessant de questionner la politique, les moeurs, la société de son pays, Les Etats-Unis - jusqu'à son nouveau film, World Trade Center (à venir le 20 Septembre), qui revient sur les attentats du 11 Septembre 2001 à travers l'histoire vraie de deux policiers piégés dans les décombres.

Rassemblant des entretiens avec la femme de Bukowski, sa fille, ses petites amies, ainsi que ses collègues de la Poste (!), ce documentaire est également ponctué des hommages de Sean Penn, Bono, Harry Dean Stanton, ainsi que d'images d'archives tirées à la fois d'émissions télévisées européennes, du stock de Barbet Schroeder (réalisateur de Barfly, sur un scénario de Bukowski), qui caressait lui aussi le projet de réaliser un documentaire sur l'auteur-culte. Au-delà de l'excentricité, ce documentaire met également en lumière un homme secret, tendre, faisant de Bukowski un des grands auteurs américains du XXe siècle.Mais ce qui illustre le mieux Bukowski, c'est encore Bukowski lui-même, car, comme il le dit, 'Quand j'écris, je suis le héros de mes conneries.'

Il était une fois en Afrique Australe, au coeur de la savane immense, un jeune suricate appelé Kolo.Ce petit animal carnivore, malin, joueur va devoir braver le désert, la sécheresse, les prédateurs afin de relever le plus grand défi de sa vie : retrouver sa famille...

Let's get lost est un formidable portrait du célèbre trompettiste, chanteur de jazz, CHET BAKER décédé à l'âge de 58 ans en 1988. A travers les témoignages de ses proches, grâce à des extraits de films, à des concerts filmés, on découvre un homme extraordinairement beau, virtuose inspiré, novateur allant de succès en succès, reconnu comme un pair par les plus grands (Stan Getz, Charlie Parker, Gerry Mulligan, etc...). On s'attarde aussi sur l'autre visage de Chet Baker, complètement accro à la drogue, dont le reste de la vie fut une bataille contre cette dépendance. Son style de vie fût très erratique, combinant des moments musicaux merveilleux, des épisodes personnels douloureux. Plus encore que ses confessions sur sa vie privée, ce sont le souffle, le son toujours superbe, le chant évanescent, la plainte de ce musicien disloqué, détruit par la drogue, qui s'imposent. Ce portrait de Chet Baker mi ange, mi démon, cabossé par la vie se révèle bouleversant, unique.