+ sur le film
Ce film appartient à un sous-genre tardif du Roman Porno : la prison de femmes. Il est directement inspiré de la très politique série La femme scorpion, réalisée dans la décennie précédente par la Toei, le studio concurrent de la Nikkatsu en matière d'érotisme. On y retrouve la même thématique : la soif de liberté qui anime des femmes dont le seul crime est de s'être rebellée contre une société phallocrate. Après avoir fait subir les pires sévices à ses personnages dans ses nombreux films SM, Masaru Konuma apparaît ici en défenseur inattendu de la cause féminine.